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Manu
Livertout Band
The Bounder
Desperados on Town
Ricardo
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Ahhh, voilà
un disque que j'attendais au soleil sur Mean Street, la réputation
de Manu et ses Outlaws n'étant plus à
faire, je voulais avoir cette galette histoire de voir si le serial
riffeur allait tenir toutes ses promesses.
Manu et ses Cow Boyz, ses canailles (bounders)
ses desperados, ses mercenaires du bruit débarquent en ville,
en deux temps, dans un premier, ce méfait est disponible sur
l'eldorado des Bad Boyz de tout tout poil j'ai nommé GuitareuroShop
tenu par Franck "Doc Mc Gee" Ribière
puis, dès que la rançon sera payée, toute les
FNAC à l'ouest du Pecos distribueront ce brulôt.
Avant de battre le rappel pour rassembler des volontaires afin de
partir chasser ces coyotes, sachez que Manu à voulu
s'expliquer sur la genèse de ce méfait, l'itw
est disponible ici.
Ride on.
D'emblée, va falloir annoncer la nouvelle à la populace:
planquez vos filles braves pères car cette galette est hautement
jouissive, son écoute va faire des dégâts, et
pas des petits dégâts.
Beaucoup de pistoleros prennent un jour l'initiative de faire une
galette, beaucoup ouais, Boot Hill est plein de ces mecs ayant
présumé de leur talent.
Quand le pony express à déposé ce colis devant
ma porte, sur que j'ai d'abord lu le pedigree de la bande, Manu,
on le connait déjà, sévissant au sein du MAI,
école ayant fourni plus de gunners qu'il n'est souhaitable
d'en avoir seulement voilà, non content de produire des zicos
qui foutent le feu sur toutes les scènes du pays, le MAI est
un lieu de rencontre pour ces outlaws.
Manu s'est entouré de Loïc "Black Dog"
Colin au quatre coups, de Dirk "Don't step on my feets
sucker" Verbeuren aux drums et d'un hurleur démoniaque
avec qui il a composé une très grosse partie de cette
galette, j'ai nommé Guillaume "Mad Scream"
Bideau. Enfin, comme si ce n'était pas assez, Laurent
"Bang Your head" d'Eu a mixé ce déluge
sonore.
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Guillaume,
Dirk, Manu et Loïc: The Bounders
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Un sourire est
apparu sur mon faciès patibulaire (mais presque), ouais braves
gens, Loïc sévissant chez Scarve, autre
bande de desperados notoires, peut être que Scarve
ne s'en remettrait pas...Il a fallu que je ravale mon sourire, si
Dirk est parti chez les suédois de Soilwork,
Loïc et Scarve se portent à merveille.
Chienne de vie que j'vous dis.
Faut être clair, ça va pas être simple de descendre
ce méfait, putain que mon étoile est lourde aujourd'hui...
15 titres, non, 15 putains de titres dont, 5 chantés,
une tuerie braves gens, une tuerie, tout y passe des compositions
rares car soignées de bout en bout, ces Bounders
ont parfaitement maîtrisé leur coup, ici les parties
rythmiques sont aussi soignées que les solos joués et,
bon sang, quel talent de compositeur prenez Bodusculpt
pfff... On peut pas lutter.
Un truc comme Staring through my eyes est plus explicite
que n'importe quel arrêté publié par un rond de
cuir de Paris Town.
Comme en plus ces mescaleros s'entendent pour foutre le bordel
downtown ça va être chaud la preuve ? Ice 9
de Joe Satriani joué par Manu, Christophe "Hô
hô" Godin, Pascal "Longs Tifs" Vigné,
Patrick "Funny Guy" Rondat, KermHeat et un
jeune coyote qui promet Steven "No shit man" Blackwords.
Une tuerie.
Bon allez, une fois ce truc entre vos mains, mettez un putain de casque
et montez le son.
Ceux qui survivront sont volontaires pour la traque les autres, paix
à leur âme.
Lone Rider aka: Ricardo
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