Le concert s'est ouvert sur "Black
Night" , avec Bertin au chant et l'ossature qui sera très
stable pendant tout le set, Lable/Galvin/Engel aux guitares.
Les solos blues guitares et pianos (Slim Batteux/Gérard Bikialo/Bertin)
s'enchainent. Le son est bon.
Peu de morceaux avec des acoustiques
ce soir. Chris Lancry prend cependant sa Dove pour accompagner P.
Verbecke sur "De quoi j'vais plaindre", morceau emblématique
de l'ex-émission du blueman français sur Europe 1.
Goldman vient sur "Rollin' &
Trumblin", il chante ce morceau avec Michael Jones.
Pendant ce temps ce n'est pas sans
mal que l'équipe de LaGuitare. arrive à rester dans
le tellement peu guitaristique carré VIP. Mais Jacques Carbonneaux,
défenseur du blues face à une direction quasi-lourde
a maintenu ses troupes bien en blues et sur pied dans cet endroit
privilégié.
Pendant ce temps sur scène,
Cabrel chante "Crossroads" et Paul Personne donne le grave
du blues avec sa "guitare à Paul ", Les Paul Gold
top sur ce morceau
dans un geste rageur il ramènera
le micro à sa hauteur, un zeste de rock au cur de ces
notes bluesy.
Ceux qui ont l'uvre de Michel
Haumont et Thierry Lamouche (dans la salle), "Autour de la
guitare ", auront retrouvé le "Hesitation blues"
chanté par Michael Jones aidé par Chris Lancry et
Michel Haumont (avec sa Takamine toute en Koa).
Souvenir ensuite avec un morceau que
les fans de Goldman avait connu grâce à lui, "Dust
my blues", chanté, comme il y a plus de 15 ans par Michael
Jones (avec son resophonic Mike Lewis).
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