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Votre groupe/carrière solo a démarré quand ?
NAMELESS est né en 2003 dans le quartier des Batignolles. On s’est rencontré au lycée quelques années auparavant et le groupe est né au fur et à mesure des soirées musique au milieu des vinyles de nos parents.
A quel âge avez-vous commencé la musique ?
Tous assez jeune finalement, avant 10 ans : Alexandre (chant) a commencé le piano à 8 ans, Clément (guitare) à 4 ans par du violon, Maxime (guitare) à 5 ans par du piano et Julien (basse) à 8 ans par du piano.
Vous souvenez vous de votre premier instrument ?
Quel modèle c’était ?
Pour Alex, un piano Pleyel quart de queue s’il-vous-plait ! Clément a commencé sur une guitare classique Alvaro, Maxime sur la vieille Framus de son père (droitier changé en gaucher pour l’occasion) et Julien une basse Queen (forme Les Paul) avec un manche tellement faux que lors de nos premiers concerts, il était obligé d’accorder différemment la basse selon le morceau !
Comment avez vous appris à jouer de votre instrument ?
Alexandre, Clément et Maxime sont passés par l’American School of Modern Music pendant les premières années du groupe. On a du arrêter en 2003 lors de la sortie de notre 1er single « 60 days, 60 nights » (Warner) faute de temps.
Avant tout cela, Alex a fait un passage rapide au conservatoire puis à l’école Atla en guitare, il a aussi pris des cours de chant classique au début du groupe. Clément est également passé par le conservatoire, plus longtemps cette fois-ci. Maxime a commencé en autodidacte puis a suivi des cours particuliers avec Bruno Lasnier. Enfin Julien a appris à jouer entièrement avec Guitar pro !
Aujourd’hui vous utilisez quel model et matos (guitare, ampli, pédales, effets, batterie, basse, clavier…) ?
NAMELESS a la chance d’être sponsorisé depuis 2004 par LAG qui nous a fabriqué des modèles sur mesure ! Deux « LAG Roxane custom Ying et Yang » signature pour les guitares. L’équivalent de la Roxane prestige avec une finition à l’effigie du groupe. Autant dire que ces guitares sont absolument fabuleuses tant au niveau du son que du jeu.
On joue sur des amplis Line 6 Flextone 3, qui font souvent hérisser le poil des puristes mais honnêtement, ça sonne très bien et rien de plus pratique en tournée (pas d’alim en avant scène, pas de câble dans tous les sens, etc…).
Pour l’acoustique en live, Maxime utilise une Takamine Tan10C et Clément une Ovation avec une caisse en graphite.
Julien joue sur une basse LAG Présence Deluxe magnifique avec un ampli MarkBass CMD 102P.
Pour les claviers, un Korg micro X et des vieux synthés analogiques qu’on affectionne particulièrement…
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Connaissez vous les guitares de luthiers et si oui quels sont les luthiers que vous connaissez ?
On connaît un luthier à la Réunion ! Il bosse dans un atelier amateur (l’atelier St Amand) et produit peu d’instruments. Mais le boulot sur chaque guitares et basses qu’il fait est hallucinant, un vrai travail de pro. (www.guitare-saint-amand.ovh.org)
Quelles sont vos exigences pour une guitare (confort, son, finition, prix) ?
Pour nous (Maxime et Clément), la priorité est de ne pas avoir à se préoccuper de sa guitare une fois sur scène, elle doit sonner et tenir l’accord.
Après les critères de confort et de son prévalent sur le reste, même si un guitariste doit trouver sa guitare magnifique.
Quelle est la guitare qui vous fait rêver ?
Nos guitares LAG nous font rêver tous les jours et on en regarde presque plus les autres… Ca n’empêche pas une petite infidélité de temps en temps : Clément possède également une Les Paul custom Epiphone et Maxime une Telecaster trafiquée au niveau des micros (un double splitable et un simple Seymour Duncan).
Album sorti ou en préparation: nom de l’album ?
On a sorti un premier album « Genetically Modified » (Dagprod/2009) disponible sur toutes les plates-formes de téléchargement (lien vers Itune)
Nous préparons en ce moment même un nouvel album, dont 4 morceaux sont déjà en écoute sur notre myspace (http://www.myspace.com/groupenameless).
D’ailleurs, nous vous offrons le premier single en téléchargement gratuit (lecteur official fm)!
Comment travaillez vous la phase de préparation d'un album ou d'une démo ?
On écrit les chansons ensemble à l’acoustique à Paris (pour les textes, on invente des personnages à partir de gens qu’on a connu et on romance leur histoire ; en tous cas pour notre nouvel album). Puis on part s’isoler à la campagne (Mâcon) ou nous avons monté un petit studio. Là-bas, on concrétise notre travail, c’est notre endroit à nous. On y va dès qu’on peut.
Une collaboration particulière ?
Oui, avec Jean-louis Dagorno (fondateur de Régiscène, ingénieur du son des plus grands de Sting à James Brown en passant par Aznavour…la liste est trop longue). Il nous a appris le métier de la scène, et nous a mis sur les rails du professionnalisme.
Votre meilleur souvenir de concert ?
Le bal de la rose à Monaco ! On a eu la chance de faire la première partie de Chuck Berry et même de l’accompagner puisqu’il nous a invité sur scène pour jouer Johnny B. Goode, tout ça devant le gratin monégasque. Avec en plus Jimmy Cliff dans le public, qui en grand fan de Chuck avait un sourire d’enfant en le regardant.
Un moment inoubliable…
Jacques Carbonneaux - Avril 2011 - www.nameless.fr - www.myspace.com/groupenameless
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