Avec
le L1, Bose rend enfin la musique aux musiciens.
Depuis des années,
la sonorisation des concerts est source de problèmes. Amplis
des instruments en fond de scène, retours de scène
pour permettre aux musiciens de s'entendre entre eux, enceintes
de façade, sans parler des nombreux câbles, de la régie
retours, de la table de mixage et de l'ingénieur du son,
qui, au final, est le seul maître de ce qu'entend le public.
Depuis plus
de 10 ans, une équipe d'ingénieurs et de chercheurs
- dont bon nombre sont eux-mêmes musiciens - chez Bose, ont
décidé de poser à plat le problème,
et d'imager une autre solution. Ils ont ainsi mis au point une toute
nouvelle solution d'amplification et de sonorisation : le Bose®
Personalized Amplification System L1.
Avec le L1,
les musiciens et le public entendent enfin la même chose,
le même son, clair et puissant. Et ce, sans amplis de fond
de scène, sans retours, sans tables de mixage. Pour la première
fois depuis des décennies, le musicien reprend le contrôle
de ce qu'entend le public. En outre, un son de grande qualité
n'est désormais plus seulement réservé aux
équipements encombrants. Le système L1 se transporte
très facilement dans ses housses et s'installe en 2 minutes
seulement.
Le L1 offre
un son d'une grande clarté et d'une fidélité
inégalée. Installé derrière le musicien
- peu risque de larsen ! - il couvre sans le moindre problème
l'ensemble de la scène et du public, avec une pression acoustique
quasi identique. Grâce à sa technologie exclusive,
les pertes de volume liées à la distance sont négligeables
et le musicien entend, sur scène, quasiment le même
son que le spectateur au fond de la salle. Conservant une totale
maîtrise du son, le musicien agit sur son L1 via une petite
télécommande, lui permettant d'ajuster instantanément
le son et son volume, et d'y apporter quelques petites corrections
en temps réel (par exemple, au moment d'un solo).
En outre, sur
un plan psycho-acoustique, il n'y a plus de "déconnexion"
entre la vue et l'ouie : par exemple, le son du guitariste vient
du guitariste, et non plus de l'enceinte de façade la plus
proche du spectateur. Les sons des divers instruments ne sont plus
mélangés, issus d'une même paire d'enceintes
de façade, mais viennent chacun de leur instrument respectif,
redonnant au spectacle sa dimension réelle et à chaque
musicien sa présence physique sur scène.
Présentation
détaillée du concept - La genèse du L1
Un projet de
recherche mené sur 10 ans chez Bose a permis une approche
entièrement nouvelle de l'amplification musicale pour les
prestations en direct.
Cette nouvelle
approche repose sur des enceintes spéciales "CYLINDRICAL
RADIATOR" qui projètent le son de manière
égale sur la scène et vers les auditeurs. Ainsi, les
niveaux sonores délivrés sont exceptionnellement homogènes
à la fois pour les artistes et les spectateurs. Ces enceintes
"CYLINDRICAL RADIATOR" reproduisent les qualités
acoustiques d'une performance naturelle, sans amplification.
Ces enceintes
permettent aux musiciens d'avoir un retour et d'entendre parfaitement
les autres interprètes. Grâce à ce système
compact pouvant être installé en quelques minutes,
la qualité de leurs performances et leur plaisir de jouer
en sont améliorés.
Au cours des
nombreux tests musicaux en situation de concert - faisant partie
de la recherche Bose - les participants aux essais rapportèrent
que la clarté et l'émotion provoquées par la
reproduction précise de chacun des instruments était
au dessus de tout ce qu'ils avaient pu écouter jusque là
avec un équipement d'amplification traditionnel. A l'opposé
d'une reproduction mono ou même d'un mixage stéréo
de tous les instruments, chacun d'eux était exactement à
la place qu'il occupait physiquement sur scène.
L'enceinte "CYLINDRICAL
RADIATOR" est un élément clé des
systèmes L1. Ces nouveaux équipements permettent d'amplifier
n'importe quel instrument, y compris la voix. Ils peuvent être
utilisés par des groupes musicaux quelle que soit leur taille
et le type de musique qu'ils jouent. Ils sont aussi efficaces pour
les petites salles que pour les concerts de 300 personnes.
Le problème
Depuis le début du 20ème siècle et surtout
dans les 60 dernières années, les musiciens ont utilisé
des équipements d'amplification pour diffuser le son de leurs
instruments et les voix vers des audiences de plus en plus grandes.
C'est ainsi, qu'en 1965, plus de 55000 fans remplissaient le Shea
Stadium de New York pour voir le concert des Beatles. Cette prestation
est légendaire par le nombre record de participants. Il fut
également le théâtre de sérieux problèmes
acoustiques.
Cet événement
au Shea Stadium est connu comme ayant été le déclencheur
d'un tournant radical dans la manière d'amplifier un concert
live. Le résultat de ce changement de méthode peut
encore se voir aujourd'hui dans les salles de toutes tailles, même
dans des lieux de petites et moyennes dimensions.
L'approche développée,
en usage maintenant depuis le concert de Woodstock en 1969, fait
appel à 3 système de diffusion complètement
indépendants : le "mur" traditionnel d'amplificateurs
d'instruments placé sur scène, derrière les
musiciens, les châteaux d'enceintes sur la scène, face
aux auditeurs et les moniteurs "retours" sur scène
permettant aux musiciens de s'entendre eux-mêmes et d'entendre
les autres instrumentistes.
Dans l'étude
Bose, les artistes ont indiqué qu'avec ces systèmes
triples ils devaient lutter pour pouvoir s'entendre eux-mêmes
sur scène. Ils ont également parlé de leur
frustration de ne pas savoir comment les auditeurs ou les autres
membres du groupe percevaient les sons qu'ils produisaient. Les
spectateurs, quant à eux, ont décrit des sons d'instruments
gargouillants, des voix inintelligibles et des niveaux sonores très
dérangeants, car trop forts.
Depuis lors, peu de choses ont changé dans les 30 dernières
années. L'approche basique d'amplification utilisée
aujourd'hui est sensiblement la même qu'en 1969. Les chercheurs
de Bose ont constaté que ces systèmes triples d'amplification
introduisent de nombreux problèmes acoustiques et psycho-acoustiques:
· Les
musiciens ont confié se sentir complètement isolés,
car ils n'avaient aucune idée du son qu'ils produisaient,
aussi bien pour les spectateurs, que pour les autres interprètes.
· Ces
mêmes musiciens ont exprimé leur frustration de créer
un son et d'en perdre le contrôle au profit de l'ingénieur
situé derrière la console de mixage. Ils ont indiqués
ne pas pouvoir contrôler le rendu sonore pour eux-mêmes
et ne pas savoir comment les autres percevaient leur prestation.
· Les
auditeurs et les musiciens ont souvent spécifié ne
pas entendre les instruments individuellement à leurs places
respectives sur l'ensemble de la scène. Au contraire, ils
ont eu l'impression d'entendre les voix et les instruments mixés
ensembles et venant d'une seule direction (le système de
diffusion le plus proche pour les spectateurs et les retours pour
les musiciens). Ils ont aussi parlé de la difficulté,
dans ces circonstances d'entendre clairement le message sonore.
Les sons
semblant tous provenir des enceintes les plus proches, il n'y avait
aucune "connexion" entre la vue des instruments et le
message audible. A titre d'exemple, le son de la guitare ne provenait
pas de l'endroit où se situait le guitariste sur la scène.
Les auditeurs rapportaient souvent la perte d'intérêt
quant aux solos et aux détails musicaux, alors qu'ils étaient
occupés à chercher visuellement qui était en
train de jouer. Les musiciens, pour leur part, indiquaient la perte
des repères musicaux importants car ils ne pouvaient pas
relier ce qu'ils voyaient à ce qu'ils entendaient.
· Il
était courant de constater que les spectateurs et les musiciens
portaient des bouchons d'oreilles tellement le son était
fort.
· Un
triple système d'amplification conventionnel requière
un nombre d'équipements colossal, même quand il s'agit
d'une petite salle. Ces équipements sont coûteux lors
de l'achat et de leur utilisation. De plus, ils sont complexes et
grands consommateurs de temps quant au transport, à la mise
en uvre et à l'exploitation. Les musiciens ont confié
que ces contraintes les distrayaient et les déconcentraient
de leur musique. Forts de ce constat et de la compréhension
de ces problèmes sous-jacents, les ingénieurs Bose
ont commencé à travailler à cette nouvelle
approche.
La solution
L'équipe de recherche de Bose a développé le
L1, qui projette le son, de manière à ce que les niveaux
sonores soient plus homogènes sur la scène et sur
l'ensemble de la zone d'écoute.
Avec un système
L1 pour chaque musicien, un concert amplifié semble avoir
les propriétés intimistes d'un spectacle acoustique.
Un seul L1 pour chaque interprète diffuse la musique dans
de nombreuses directions sur scène (quasiment à 180°).
Les auditeurs et les musiciens perçoivent clairement le son
et peuvent détailler individuellement chaque instruments
ou chaque voix. Les musiciens contrôlent leur musique, comme
lors d'une prestation entièrement acoustique. Les produits
sont compacts, faciles à utiliser et installés en
quelques instants.
Connectique
à l'arrière du L1 |
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Zoom
gauche de la connectique à l'arrière du L1 |
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Zoom
droit de la connectique à l'arrière du L1 |
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Le L1 dispose
de 4 canaux d'entrée ce qui lui permet de recevoir plusieurs
instruments. Il est doté d'un panneau de commande à
l'arrière offrant différents réglages simple,
et une molette permettant de choisir un très grand nombre
de pré-selections, par exemple pour retrouver le son typique
d'un microphone Shure SM58 ou d'une guitare Fender Stratocaster.
On peut lui adjoindre un ou deux modules de basses, voire jusqu'à
quatre avec l'amplificateur PackLite optionnel.
Une télécommande permettant les réglages de
base (volume, gain, grave, médium, aigu) permet au musicien
de régler les 2 voies principales du L1.
Tarifs publics
TTC conseillés :
- L1 configuration de base 1 699,00 €
- L1 + 1 module de basses 1 999,00 €
- L1 + 2 modules de basses 2 299,00 €
- L1 + 4 modules + Pack Lite 3 299,00 €
Où
trouver le L1 de Bose
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